Le bolivien débuta la compétition en tant que sélectionneur (de son pays), puis éliminé, continua... comme arbitre assistant lors du deuxième tour ! Il officia durant les demi-finales et la finale.
L'Inde ne joua pas le Mondial 1950 car l'instance
internationale ordonna que tous les membres de l'équipe
nationale soient chaussés. A l'époque, comme lors des Jeux Olympiques
1948, certains joueurs préféraient évoluer pieds nus. Ces derniers refusèrent
de se plier au règlement.
Cette info, parfois contestée, figurait sur une ancienne version du site de la FIFA (source).
Comme l'atteste cette copie d'écran provenant du site FIFA.com, aucun uruguayen ne porta le numéro 13 durant la phase finale. Guillermo Escalada, 22e joueur retenu par le sélectionneur Juan Carlos Corazzo, hérita du numéro 23.
Les deux derniers buteurs de ce match à sens unique - 9 à 0 - opposant la Yougoslavie et le Zaïre furent indiqués, faute de place, par leurs numéros (NR7 et NR19).
En plein Mondial, le sud-coréen Ahn Jung-hwan, bourreau des italiens avec son but en or, fut renvoyé de Pérouse. Motif du licenciement ? Son employeur Luciano Gaucci - Président de l'Associazione Calcistica Perugia Calcio (version originale) - lui reprocha d'avoir activement participer à l'élimination de ses compatriotes.
Selon Gaucci, ce « traite » ne méritait pas de revenir jouer en Serie A, du moins, ça ne se ferait plus à Pérouse... Surréaliste mais malheureusement vrai !
Lors des éditions 1978 et 1982, les numéros argentins furent attribués en fonction du nom. Pour le Mundial 82, Mario Kempes (numéro 11) et Diego Maradona (numéro 10) disposèrent d'un passe-droit.