Match disputé le 1er septembre 2001.

A 10 minutes de son ultime match officiel, le français perd son self control et assène un violent coup de boule à Materazzi. Ceci en réaction à des injures déplacées, monnaie assez courante sur les pelouses... Une séquence choc devenue tristement culte.

Le brésilien se joue de Ladislao Mazurkiewicz mais son tir croisé ne peut atteindre la cible.

L'arbitre anglais Graham Poll s’emmêle les pinceaux et commet une énorme bourde en avertissant à 3 reprises le même homme !

Séquence impressionnante durant laquelle l'attaquant français prend de vitesse la défense argentine.

Roberto Dinamite parvint à conclure victorieusement cette incroyable séquence.

En quarts de finale, contre l'Angleterre, El Pibe de Oro devança Peter Shilton et marqua à la 51e minute... de la main, qualifiable de Dieu ou du Diable, c'est suivant le camp bien évidemment. Les anglais eurent beau protester, l'arbitre tunisien Ali Bennaceur n'ayant rien vu, le but fut validé.

Puis 3 minutes plus tard, comme pour se faire pardonner, Maradona exécuta un rush solitaire dont il avait le secret en passant en revue toute la défense anglaise, il doubla la mise. Magique ! Les anglais réduisirent le score par Gary Lineker à la 80e mais sortirent de la compétition suite à cette entourloupe.

Toute l'Angleterre recherche la Coupe Jules Rimet qui a été dérobée, le 22 mars 1966, au cours d'une exposition à Londres. Une semaine après les faits, Dave Corbett qui se baladait dans un parc de la capitale récupère le précieux objet grâce à son chien.

Le trophée était dissimulé derrière un buisson, dans un emballage sommaire. Ce duo sauva son pays du ridicule. Pickles fut récompensé par un festin alors que son maître reçut un chèque de 1.000 livres ! Le voleur, un certain Edward Bletchers, écopa lui d'une peine de prison.

Le 29 juin 1950, à Belo Horizonte, le petit poucet américain s'imposa 1-0 face à l'ogre anglais, pays ayant inventé le football et qui participait à sa première phase finale de Coupe du Monde.

Les supporters brésiliens descendirent sur la pelouse et rendirent hommage à l'unique buteur de cette rencontre. Signalons que ce joueur, d'origine haïtienne, ne possédait même pas la nationalité américaine lors du tournoi, il ne l'obtint d'ailleurs jamais...

Le temps d'Italia 90, un inconnu de la scène internationale, l'italien Salvatore Schillaci régna sur la planète football. Ses prestations lui valurent les Ballon d'Or et Soulier d'Or du tournoi. Après cet été exceptionnel, il retomba dans l'anonymat.